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« J'ai 46ans, j'ai eu un accident de voiture à l'âge de 6 ans, à 13 ans on a dût amputer ma jambe. J'ai appris à marcher avec une prothèse, je vivais normalement. A 23 ans j'ai mis au monde mon enfant.

A 26 ans, j'ai préparé mon CAFAS, diplôme d'aide soignante, et je pratique ce métier depuis. On peut vivre normalement nous les amputés. Je souhaite courage et force à ceux qui viennent d'être amputé. » Selon le témoignage de Patricia-Laura.

 

« Quand on a une prothèse, on n'est pas condamné à rester sur son canapé à regarder les Chiffres et des Lettres. » D'après le témoignage de Christian Bayle, ex-champion de France.

 

« Beaucoup de personnes handicapées ne savent même pas qu'il y a des structures où elles peuvent faire du sport » Déclare David Schoenacker, le directeur sportif du basket handisport français.

 

 

    Du sport pour les handicapés, cela peut paraître a priori impossible, car le premier frein à cette pratique est son manque d'accessibilité, comme le déclare David Schoenacker. En effet, parmi les 35% des français handicapés qui font du sport seuls 1% sont licenciées contre 17% chez les valides.

Malgré cela le sport peut être pour ces non-valides un moyen d'oublier un instant leur handicap afin de s'épanouir de nouveau, il devient même pour certains indispensable.

Ils peuvent l'utiliser pour se lancer des défis , rencontrer des personnes qui ont les mêmes difficultés , gagner une confiance en eux et devenir indépendants. Il les aiderait donc à améliorer leurs conditions de vie et à s'ouvrir au monde.

Pour les soutenir dans leur combat, l'évolution scientifique a perfectionné encore et encore leur «nouvelle jambe»: la prothèse qui permet aux handicapées d'obtenir peu à peu le niveaux d'un valide.

 

Nous tenterons à travers cette présentation à savoir  si l'évolution scientifique permet actuellement à un handicapé de courir à la même vitesse et de dépenser la même énergie qu'une personne sans handicap.

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